Stéphane Héraud, président de l'Association générale de la production viticole (AGPV) :
Globalement, la différence est de 20 à 30 % quand les choses vont bien par ailleurs – aujourd'hui, elle est faible ou nulle, quand le marché n'est pas totalement arrêté –, ce qui permet de compenser en partie la baisse ou la perte de récolte.