Interventions sur "extrême"

32 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDanièle Obono :

..., les mœurs, l'orientation sexuelle ou l'identité de genre, peuvent exercer les droits reconnus à la partie civile. Bien que les prétoires soient ouverts ponctuellement à un nombre croissant d'associations, des carences perdurent, ainsi que l'illustre une récente affaire. Au mois d'octobre 2018, le siège de l'association SOS Méditerranée et ses sept salariés ont été attaqués par un groupuscule d'extrême droite, Génération identitaire, en raison des actions humanitaires menées par l'association. Les vingt-deux agresseurs de Génération identitaire ont été renvoyés devant le tribunal correctionnel. Or la Fédération nationale des maisons des potes, l'association antiraciste qui souhaitait se constituer partie civile, n'a pas pu le faire, la juridiction ayant considéré que cette demande était irrecev...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-François Coulomme :

L'extrême droite nous a habitués au négationnisme ; maintenant, c'est le tour du mensonge ! Vous persistez dans l'idéologie qui vous caractérise. Notre collègue Léaument ne propose pas de stigmatiser les policiers, mais de leur donner un outil pour caractériser la nature des infractions dont ils sont saisis en cas de plainte.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMeyer Habib :

...ce à la boule au ventre des juifs français qui ont le courage de rester dans un pays où ils sont menacés, c'est se condamner au bégaiement de l'histoire. La France, le pays des droits de l'homme, le pays qui a constitutionnalisé il y a deux jours le droit à l'avortement, est incapable de protéger sa plus ancienne minorité, présente sur son sol depuis le Moyen Âge, du déchaînement antisémite de l'extrême gauche antisioniste !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Léaument :

Monsieur Meyer Habib, vous avez dit que certaines personnes de l'extrême gauche avaient glorifié les crimes du Hamas. Pas chez nous ! Personne chez nous n'a fait cela.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Léaument :

Vous parlez d'islamisme et d'islamo-gauchisme comme jadis l'extrême droite parlait de judéo-bolchévisme au sujet des militants de gauche qui défendaient les juifs contre l'antisémitisme. Aujourd'hui, nous sommes traités d'islamo-gauchistes parce que nous défendons nos compatriotes musulmans contre l'islamophobie dont ils font l'objet. Monsieur Habib, l'islamisme est notre adversaire au même titre que l'extrême droite.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRaphaël Gérard :

La différence entre le caractère public et le caractère non public d'un discours, en cas d'infraction commise au moyen d'applications de messagerie privée telles que WhatsApp ou Telegram, est extrêmement ténue compte tenu de l'audience des groupes de discussion. Dès lors, au vu du continuum des discours de haine, il ne semble pas pertinent d'introduire de distinction en matière de régime procédural selon que les faits sont publics ou non s'agissant du délit d'apologie ou de contestation de crime contre l'humanité. La loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse prévoit que « toute asso...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Léaument :

J'ai dit tout à l'heure que les islamistes et l'extrême droite étaient les deux faces d'une même pièce. Nous allons examiner dans quelques instants un amendement qu'auraient tout à fait pu signer des islamistes ,

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Odoul :

Petit pas après petit pas, nous voyons la gauche, l'extrême gauche et les macronistes – tous ceux qu'on appelle les bien-pensants – lancer des offensives pour nier les réalités biologiques. Je rappelle qu'il n'existe pas d'« identités supposées ».

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJulien Odoul :

Il faut le dire, cet amendement repose sur un mensonge. La gauche et l'extrême gauche mettent toujours en avant un racisme prétendument systémique, des millions de Français imaginaires qui souffriraient dans leur quotidien du racisme, des discriminations, etc.