Ils n'ont pas été embêtés ?
À M. le méchant patron !
Europe Écologie, c'est fini !
Ce n'est pas du racisme individuel !
Mais non ! On ne peut pas dire ça !
Ce que vous voulez, c'est que le texte ne passe pas !
On appelle ça des compromis !
Tout ça, c'est à cause des suspensions de séance demandées par le RN !
Change de disque !
Si, vous avez dit « monsieur l'adjoint au maire » !
Quel est le rapport avec le texte ?
C'est incompréhensible !
Cet argument est un grand classique !
Il faudrait aussi l'interdire aux candidats, n'est-ce pas ?
Une réponse sur le fond, monsieur Tanguy !
Ce n'est pas de l'arrogance, ça ?
Tout ça pour ça !
Vous êtes caricatural, il n'y a pas de juste milieu avec vous.
C'est par habitude !
Il s'agit pourtant d'une peine de bannissement numérique !
Mme Rist a bien voulu me laisser cosigner son excellent amendement. L'article 4 A vise à renforcer, en l'actualisant, la répression des délits d'exercice illégal de certaines professions de santé, notamment les médecins, les pharmaciens, les dentistes, et des pratiques commerciales trompeuses dès lors qu'elles ont un support numérique. Les dispositions introduites, parallèlement au projet de loi Sren, sont nécessaires mais ont besoin d'être complétées. Le présent amendement propose de les étendre à l'exercice illégal des professions de masseur-kinésithérapeute, d'infirmier et de pédicure-podologue. Les professions de santé réglementées seront ainsi ...
Caroline Abadie Le rapporteur a déjà indiqué que vos amendements étaient satisfaits.
Caroline Abadie Vous êtes sur un terrain glissant, monsieur Léaument.
Caroline Abadie Nous poursuivons la discussion générale sur la proposition de loi visant à prévenir les ingérences étrangères.
Caroline Abadie Nous poursuivrons l'examen de la proposition de loi cet après-midi.
Caroline Abadie Cette proposition de loi sera examinée en séance le 25 mars, pendant la semaine de l'Assemblée nationale. Elle a été déposée par trois des membres de la délégation parlementaire au renseignement (DPR) – vous-même, monsieur le président, Thomas Gassilloud et Constance Le Grip.
Je salue l'important travail des rapporteurs Damien Adam, Stéphane Vojetta et Daniel Labaronne qui, dans leurs commissions respectives, ont contribué à améliorer ce projet de loi. Il s'agit certes d'un exercice assez technique, mais aussi récurrent – c'est le troisième en trois ans – et essentiel pour la conformité de notre droit à la législation européenne. L'étroitesse de la marge de manœuvre des États membres pour transposer le droit européen est avérée. En dépit de la technicité du texte, d'importantes mesures ayant parfois fait l'objet de longs débats en France demeurent soumises à notre vote. La commission devra ainsi se prononcer sur l'article ...
C'est scandaleux !
Ce n'est pas la présentation de votre amendement !
Et nous, nous ne partageons aucune des vôtres !
Les décideurs politiques ont fauté ! C'est ce qui est écrit dans l'amendement.
Vous avez déjà dit tout ça !
Il parlait des socialistes !
Ma question s'adresse à M. le garde des sceaux. Robert Badinter disait que le plus grand abolitionniste était Victor Hugo. Pour nous, le meilleur s'est éteint la semaine dernière. Ce matin, le Président de la République lui a rendu un vibrant hommage national devant la foule réunie place Vendôme, près du ministère de la justice où il mena, entre autres combats, celui de l'abolition de la peine de mort. Ce combat capital pour notre civilisation se nourrissait de sa passion pour la justice, qu'il savait humaine, donc faillible, et de sa conviction profonde – qu'il partageait avec Victor Hugo – que nul ne saurait être privé du droit d'être meilleur. Il ...
On n'a pas l'habitude !
Non, de nous ériger en juges !
Qui appelle à la violence ? C'est l'hôpital qui se fout de la charité !
Ah, je pensais que vous parliez d'un autre endroit !
Beaurepaire se situe en Isère !
On l'avait vu venir !
Vous allez casser le micro !
Plus d'une cinquantaine de motions de censure et de motions de rejet préalable ont été déposées. Des centaines de personnes ont été mobilisées, chacune pour des centaines d'heures. Est-ce là ce qu'attendent les Français ? Je ne crois pas. Ils attendent et reconnaissent en vous, monsieur le Premier ministre, le courage et la responsabilité nécessaires pour affronter les défis qui se dressent devant nous. Ils attendent non que nous ayons toujours raison, mais que nous ayons, avec sincérité, essayé de résoudre leurs problèmes. Ils veulent simplement que nous soyons à leurs côtés et à leur écoute, pour trouver des solutions. Les Français attendent des ...