C'est un groupe terroriste !
Il n'y a plus de boussole !
C'était dégueulasse !
Oh, allez, ça va !
Vous méritez un blâme !
C'est honteux !
Mais il n'y a pas de conflit d'intérêts !
Vous n'acceptez aucune différence !
C'est la groupie du Hamas qui nous dit ça !
Vous parlez d'autre chose, et vous venez de perdre cinq minutes !
Et quel est votre avis sur le fond ?
Défendez vos idées, plutôt que de gagner du temps – ou d'en perdre, plus précisément !
Assumez votre obstruction ! Vous ne défendez rien !
Le 19 septembre, les Arméniens du Haut-Karabakh ont été contraints de fuir en masse vers l'Arménie après une attaque de l'armée azerbaïdjanaise ayant entraîné ce qui s'apparente à un nettoyage ethnique : plus de 100 000 hommes, femmes et enfants ont depuis trouvé refuge chez leurs voisins de la République démocratique d'Arménie. Face à ce drame, la France a fait preuve non seulement d'une grande clarté diplomatique, mais également d'un soutien fort et immédiat en matière humanitaire et politique, mais aussi en matière de sécurité, notamment par la signature de contrats de défense. Néanmoins, le soutien économique et financier est le talon ...
Ça suffit !
Ça devient n'importe quoi !
Ça s'appelle ne pas être d'accord ! Il faut accepter la contradiction !
Écoutez, un peu !
Les barbares !
Ils sont en train d'embaucher !
Ce n'est pas honteux, des salariés le font bien !
Le policier est incarcéré : cela ne vous suffit pas ? La justice travaille, madame !
Vous, vous soutenez les délinquants !
Il vise à assurer la consultation du conseil de développement sur les projets de Serm dans les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre. Le conseil de développement est composé de plusieurs collèges et il inclut des représentants du monde économique, lesquels paient généralement un versement mobilité à leurs salariés. Ils sont donc intéressés dans les projets de Serm. J'ajoute que ces projets servent aussi la ruralité : dans la métropole Aix-Marseille-Provence, où se trouve ma circonscription, la réouverture des petites lignes, priorité du Gouvernement depuis six ans, fait converger dans les bassins d'emploi et dans ...
C'est vrai qu'on n'y avait pas pensé…
Il ne fallait pas dégainer une motion de censure !
C'est un peu longuet…
Anne-Laurence Petel, vice-présidente de la commission
Anne-Laurence Petel Il ne défend pas l'amendement !
Anne-Laurence Petel, vice-présidente de la commission des affaires économiques
Anne-Laurence Petel Et nous avons réduit le chômage !
Ça n'a rien à voir !
Mais ce n'est pas l'amendement !
Rendez-nous Jean-Baptiste Moreau ! Il savait de quoi il parlait !
Ils sont beaux, vos arguments !
S'il vous plaît, madame Chikirou, enlevez vos amendements ! Arrêtez de bloquer !
C'est à l'article 8 ! Retirez vos 4 000 amendements !
Ce n'est pas l'objet de l'amendement !
« Vos amis » ? Je n'ai pas d'amis milliardaires !
C'est Retour vers le futur !
Anne-Laurence Petel, vice-présidente de la commission des affaires économiques
Anne-Laurence Petel …par les associations de protection animale et par nos concitoyens sensibles à cette cause. Ces derniers étant de plus en plus nombreux, il est fondamental que nous prenions mieux en compte le bien-être animal dans nos politiques publiques. En novembre 2021, nous avions déjà proposé et voté la loi visant à lutter contre la maltraitance animale et conforter le lien entre les animaux et les hommes. Elle a été saluée par les associations comme une avancée historique pour la condition animale en France, car elle a inscrit dans le droit des mesures fortes comme l'interdiction de la vente de chiots et de chatons en animalerie ; l'encadrement de la vente ...
Anne-Laurence Petel, vice-présidente de la commission des affaires économiques
Anne-Laurence Petel La commission des affaires économiques a examiné la semaine dernière la proposition de loi de notre collègue Corinne Vignon visant à interdire la maltraitance sur les animaux de compagnie par l'utilisation de colliers étrangleurs et électriques. Ce texte est attendu…
Cet amendement, travaillé avec Voltalia, veut autoriser la réalisation de projets agrivoltaïques en discontinuité de l'urbanisation existante au sens de la loi « littoral » et de la loi « montagne ». Il est souhaitable de les faire bénéficier des dérogations que ces lois prévoient pour les installations nécessaires à l'activité agricole car elles relèvent de cette catégorie. Il convient également de prendre en compte les spécificités de ces installations : elles sont réversibles et n'entraînent pas de prélèvement de terres. Soulignons à cet égard qu'elles permettent de préserver les terres nécessaires au maintien et au développement des ...
J'accepte de le retirer mais j'insiste sur l'importance de travailler à la définition d'un bail agrivoltaïque.