Les amendements de Sylvain Maillard pour ce dossier

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L'article 17 est important : il permettra l'ouverture dominicale des commerces, durant les Jeux olympiques et paralympiques, dans toutes les communes qui les accueilleront. La France recevra alors des millions de touristes, ce dont nous pouvons nous réjouir : il est normal qu'à nos commerçants, à nos artisans, ce surcroît d'activité procure du ...

C'est pourquoi les élus parisiens de Renaissance ont toujours souhaité faire de la ville entière une zone touristique internationale, où les commerçants et artisans auraient le choix d'ouvrir le dimanche s'ils le veulent.

L'immense majorité d'entre eux ne le souhaiterait pas, mais la liberté du travail, la liberté du commerce, serait respectée. Paris, ville internationale, accueille des millions de touristes tout au long de l'année : or, contrairement à ses concurrentes, Londres, Berlin, les boutiques n'y sont pas toutes ouvertes le dimanche.

Par conséquent, c'est une bonne chose que cette future loi olympique nous permette de les accueillir le dimanche et, plus largement – idée que nous continuerons à promouvoir –, que, ce jour-là, les commerçants puissent choisir d'ouvrir ou de ne pas ouvrir.

Il y a ici des élus parisiens, ne serait-ce que Mme Obono ! Eux savent bien que des commerces ouvrent le dimanche à Paris !

Certains députés du groupe LFI – NUPES qui viennent de prendre la parole pour défendre leurs amendements, ce qui est bien logique,…

…et que nous avons déjà discuté de l'ensemble des points évoqués. Nous avons dit et expliqué que les données collectées par la vidéosurveillance ne relevaient pas de la biométrie. Nous avons eu un vrai échange, d'ailleurs très intéressant et technique, sur lequel nous revenons maintenant. Quels mots n'avons-nous pas encore prononcés depuis tro...

Et paralympiques, vous avez raison, monsieur le ministre. Vous êtes contre, et je répète que c'est votre droit.

Vous souhaitez que cela ne marche pas, que cela échoue : c'est votre droit, mais laissez-nous réfléchir et vous faire des propositions. Nous avons avancé sur la biométrie.

Nous avons dit que ce n'était pas le cas. Nous ne vous avons pas convaincus, mais laissez-nous travailler et avancer.

Je n'ai pris la parole qu'une fois depuis neuf heures, madame la présidente. Nous avançons au rythme de trente amendements à l'heure, et…

Si vous coupiez la parole à toute personne qui ne s'exprime pas précisément sur l'amendement en discussion, madame la présidente, nous en serions déjà à l'article 17 !

Je ne demande qu'une chose aux députés du groupe LFI – NUPES : que nous puissions avancer, ne serait-ce que par respect pour les collègues qui le souhaitent. La discussion est intéressante, mais n'y revenons pas dix fois.

Puisqu'il m'a mis en cause, je répondrai à M. Lucas. Tout d'abord, je l'ai accusé de ne pas aimer « les policiers » – ce n'est pas la même chose.

Par ailleurs, je note que, outre que vous n'aimez pas les Jeux olympiques, vous ne cessez de défendre les manifestants qui jettent des pavés et incendient des poubelles, en relativisant la gravité de ces actes. Pour notre part, nous défendons tout le monde, y compris les policiers qui exercent un travail extrêmement difficile et qu'au fond vous...

Pour notre part, nous serons toujours du côté des policiers et de nos concitoyens, qui eux aussi, ont droit de jouir de la tranquillité publique, y compris dans leur domicile.