Les amendements de Nicolas Turquois pour ce dossier

11 interventions trouvées.

À l'issue de cette journée, je vous propose la création d'un nouveau véhicule législatif, la PPI – proposition d'intentions. Les textes de ce type sont intéressants mais ils comportent peu d'éléments opérationnels et pas de réalités concrètes pour nos concitoyens. Notre assemblée examine une nouvelle proposition de loi portant sur l'accès aux ...

…après celles de nos collègues Stéphanie Rist et Frédéric Valletoux, cette dernière ayant été adoptée ce matin en CMP. L'accès aux soins est indéniablement un sujet majeur : six millions de personnes sont aujourd'hui sans médecin traitant, dont près de 600 000 souffrent pourtant d'une affection de longue durée ; un tiers de la population vit d...

Le département de la Vienne, comme tant d'autres, n'est pas épargné. Avec l'ensemble des acteurs locaux, nous nous mobilisons sans relâche pour améliorer l'accès de nos concitoyens à la santé en favorisant la création de maisons de santé pluriprofessionnelles (MSP), la délégation de tâches ou encore la constitution de communautés professionnell...

En matière d'études de médecine, nous savons, hélas, que toute mesure complémentaire à la réforme du numerus clausus de 2019 mettra au moins dix ans à produire un quelconque effet.

Cette évolution aurait dû être entamée depuis des dizaines d'années. Mais les majorités successives s'y sont refusées… dont les vôtres, chers collèges LR ! Vous proposez ici de faire correspondre l'offre de formation aux besoins en santé du territoire. Le principe est on ne peut plus sain. Mais il est déjà prévu dans la loi – selon des modalité...

La régionalisation des concours est donc une question à se poser. L'article 2 porte sur la réadmission des étudiants français partis à l'étranger. Au-delà du caractère plutôt discriminatoire dans le cadre européen de la mesure proposée, il faut se demander pourquoi autant de jeunes partent à l'étranger.

Peut-être faut-il s'interroger sur le nombre global de médecins que nous formons dans notre pays ? À propos de l'article 3, qui porte sur l'accélération des études de médecine pour les professionnels paramédicaux, je m'interroge. Peut-être que dix ans pour former un médecin généraliste, c'est à la fois trop long et surtout repoussoir pour beau...

Prenons garde aux messages que nous envoyons à nos concitoyens : ne créons pas de faux espoirs, nous en serions tenus collectivement responsables.

Les seules mesures pertinentes à court terme sont celles qui économisent du temps médical, en faisant coopérer les professionnels de santé, en aidant à l'embauche d'assistants médicaux, en favorisant la prévention pour limiter l'aggravation des pathologies et la consommation de soins. Si l'on veut agir dès maintenant, c'est par l'organisation d...

Vous l'aurez compris : le groupe Démocrate préfère s'abstenir sur ce texte, que nous considérons comme insuffisamment opérationnel.

Je l'ai dit au cours de la discussion générale, nous nous abstiendrons sur ce texte. L'intention est louable, et il est certain que nous manquons de médecins. Néanmoins, en matière de formations en santé, les mesures prises ont un effet dans le temps long ; la réforme du numerus clausus portera ses fruits à la fin de la décennie 2020. On ne peu...