Je m'exprime sur l'amendement. Le contexte éclairera le propos.
Monsieur le ministre délégué, il est assez malvenu d'expliquer que des faits qui sont dans le débat public – et qui se rapportent à la confiance que nous accordons au Gouvernement et à sa probité – ne peuvent pas être évoqués à l'Assemblée nationale. De votre part, c'est une attaque contre la démocratie représentative, mais nous en avons l'habitude.