C'est un sujet que notre groupe avait mis en avant très tôt dans l'examen du projet de loi. Nous voulons que la France et l'Europe prennent une part dominante à cette aventure industrielle incroyable. Avec le plan Biden, les Américains s'embêtent moins : énergie pas chère, subventions massives, protectionnisme… L'Europe doit répliquer en respectant le droit européen – sur ce point, j'ai une différence avec mes collègues – et, s'il faut sans doute réformer ce droit, nous devons dès aujourd'hui exploiter toutes les facultés qu'il nous donne.