Les amendements de Erwan Balanant pour ce dossier

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Pour appuyer les propos de M. le ministre délégué, j'aimerais aborder un angle mort de nos débats : la parentalité. Les parents participent à l'éducation des enfants. Nous répétons souvent qu'il faut veiller à protéger nos enfants, mais nous devons aussi contrôler ce qu'ils font sur les réseaux sociaux. Comme vous le savez, j'ai beaucoup travai...

À la faveur de ces échanges sur les autorisations, je veux rappeler que lorsqu'on est parent, on reste le responsable de ses enfants.

On reste civilement responsable de ses enfants jusqu'à ce qu'ils aient atteint l'âge de 18 ans. Il faut donc insister sur la parentalité et le devoir d'accompagnement parce que certains parents ne connaissent pas ces sujets, comme l'a indiqué le rapporteur. Il ne faut pas s'en tenir à la protection des enfants, il me semble important de s'intér...

La réflexion de M. Léaument me semble très juste. Il faut donc voter son sous-amendement. Je donnerai un argument supplémentaire. Lors d'une enquête, si un compte est supprimé, toutes les preuves peuvent disparaître alors que, si le compte est suspendu, elles sont conservées par le fournisseur d'accès. L'accès au compte, donc aux preuves, peut...

Nous venons de voter une mesure contraire à l'article 16 de la Convention internationale des droits de l'enfant, mais nous en reparlerons !

L'amendement est également satisfait par la loi du 2 mars 2022 visant à combattre le harcèlement scolaire, dont nous fêtons aujourd'hui le premier anniversaire. Ce texte contient des dispositifs permettant aux associations d'intervenir plus facilement pour appuyer les équipes pédagogiques.

Je voulais d'abord remercier le président Marcangeli et le groupe Horizons et apparentés pour avoir mis en avant ce sujet : plus on le fera, plus on améliorera la protection de nos enfants. Le groupe Démocrate (MODEM et indépendants) votera évidemment pour le texte, mais j'ai un petit regret : j'aurais aimé que l'amendement de Mme Piron soit ad...

Ça va aller, ne vous inquiétez pas. Il n'y a qu'une majorité, donc, dans notre pays, elle est à 18 ans et il ne faudrait pas laisser croire à nos enfants que toutes les possibilités leur sont ouvertes. Les dispositions que nous prenons doivent les protéger tout en recherchant un équilibre qui garantisse leur droit à l'intimité. Pour ce faire, i...