Interventions sur "immigration"

17 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenjamin Lucas-Lundy :

Ce racisme d'atmosphère se manifeste dans les petites humiliations du quotidien – de discours stigmatisants en amalgames orduriers –, dans des violences symboliques qui deviennent physiques, nous l'avons vu encore récemment. Ce racisme d'atmosphère imprègne évidemment le débat sur l'immigration.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenjamin Lucas-Lundy :

Assez naturellement, l'opinion publique surestime de 15 points le poids de l'immigration en France. On a fait des victimes qui fuient la guerre ou la misère des coupables, boucs émissaires faciles d'une France déclassée par des décennies de néolibéralisme, fracturée par les inégalités, minée par les injustices, désertée par les services publics et trop souvent impuissante face aux désordres du monde – notamment le péril climatique.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenjamin Lucas-Lundy :

Notre point d'équilibre à nous n'est pas compatible avec votre texte. Notre exigence va vers une politique d'humanité, qui ne peut être équidistante d'aucune prétendue fermeté. Cette fameuse fermeté, parlons-en. En quarante ans et trente lois sur l'immigration, elle n'aura produit que deux effets : l'inflation des revenus des passeurs, qui indexent leurs tarifs sur les difficultés à franchir nos frontières, et la hausse terrifiante du nombre de morts en Méditerranée et dans les Alpes.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenjamin Lucas-Lundy :

La lucidité, c'est sortir la comptabilité des étudiants étrangers des statistiques de l'immigration et reconnaître que, pour la plupart, ils repartent dans leur pays et y font rayonner la France, qu'ils réussissent mieux leurs études et rapportent 1,3 milliard d'euros chaque année à notre économie. Soyons fiers, pour notre influence, notre recherche et notre modèle universitaire, d'accueillir tous ces talents !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaElsa Faucillon :

Nous ne voulons pas d'une énième loi sur l'immigration s'inscrivant dans une logique répressive et sécuritaire.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaElsa Faucillon :

Surtout, nous ne voulons pas d'une loi qui tourne le dos à notre ambition d'accueil et d'hospitalité. L'immigration et l'hospitalité sont le fruit de notre histoire ; ils fondent aussi notre État de droit. Nous ne voulons pas d'une loi qui pointe un responsable, l'étranger, alors même que la fermeture des hôpitaux et le manque de professeurs dans nos écoles ne sont pas la conséquence de l'arrivée des étrangers, mais de vos choix politiques.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEstelle Youssouffa :

Le groupe LIOT tient à ce que notre assemblée examine et débatte du projet de loi pour contrôler l'immigration, améliorer l'intégration, parce que notre pays le demande.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEstelle Youssouffa :

...ès aux droits au motif que les étrangers pourraient y accéder en masse dans ce territoire. Face à cette tragédie et aux limites de la dépense publique, des choix sont nécessaires, car aucun système ne peut tenir sans la contribution et l'adhésion de tous. Notre souveraineté est attaquée à Mayotte, et notre île menacée et déstabilisée par l'afflux migratoire. L'Assemblée nationale doit regarder l'immigration en face et débattre.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaure Miller :

L'immigration est un sujet de préoccupation majeur pour nos concitoyens, trop souvent otage de l'affrontement entre deux outrances : d'une part, l'immigration zéro, ce mythe très souvent évoqué par l'extrême droite ;…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaure Miller :

Chers collègues, en soutenant la motion de rejet préalable, vous rejetez toutes les mesures qui permettront demain une meilleure intégration des étrangers par le travail et par la langue. Les Français sauront que vous ne voulez pas discuter des mesures visant à lutter contre l'immigration clandestine, notamment en criminalisant les passeurs et en luttant contre les marchands de sommeil. Si vous votez pour cette motion,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEdwige Diaz :

Elles sont indécentes, car quand on a votre bilan, c'est-à-dire 120 attaques au couteau par jour, un taux d'exécution des OQTF qui n'atteint pas même les 7 %, des subventions aux associations immigrationnistes qui frôlent le milliard d'euros, un total de 600 000 à 900 000 clandestins qui vivent sur notre sol, et plus de 400 000 étrangers légaux qui entrent en France chaque année,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEdwige Diaz :

Pourquoi Emmanuel Macron a-t-il refusé l'organisation d'un référendum sur l'immigration – dont Marine Le Pen défend le principe depuis des années – alors que 75 % des Français le réclament ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEdwige Diaz :

Tout le monde sait que le Rassemblement national combat avec détermination la vision sans-frontiériste et immigrationniste de la NUPES. Cela étant rappelé, et parce que votre projet de loi aggraverait la situation migratoire de notre pays,…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThomas Portes :

Vous présentez aujourd'hui un nouveau projet de loi pour contrôler l'immigration, le 117e depuis 1945, le 30e depuis 1981, le 4e sous le règne de la Macronie.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Marleix :

S'agissant du présent projet de loi, nous avons travaillé main dans la main avec nos collègues sénateurs du groupe LR afin de proposer aux Français le changement radical qu'ils attendent dans le domaine de l'immigration. Malheureusement, monsieur le ministre, le Gouvernement a laissé piétiner en commission des lois le texte de fermeté issu du Sénat.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaErwan Balanant :

Depuis des mois, vous ne parlez que d'immigration : c'est le seul sujet qu'il conviendrait de traiter, votre unique boussole. Mais alors que nous devons justement en débattre, vous fuyez devant l'obstacle et vous voulez arrêter le combat.