Interventions sur "écologie"

11 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaKévin Pfeffer :

...agriculteurs ce que la protection de biens communs tels que l'eau, l'air, les glaciers ou la terre sont à notre pays : de véritables enjeux du XXIe siècle. La priorité écologique commande d'en finir avec l'hypermobilité des biens et des services, avec la soumission au libre-échange et avec l'ouverture totale des frontières. De toute évidence, la NUPES n'a pas le monopole de l'écologie.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaKévin Pfeffer :

...nous devrons diversifier les sources de revenu de l'agriculture familiale, rémunérer ceux qui jouent le jeu de la captation de CO2 et renforcer l'autonomie alimentaire et énergétique du pays. Nous devons aussi demander démocratiquement au peuple de fixer un cap environnemental et un nouveau contrat social. Oui, les Français sont prêts à protéger notre environnement : ils vivent l'écologie au quotidien. Ils sont prêts à lutter contre la pollution de l'air, de l'eau et des champs : encore faut-il leur demander leur avis. Les Français savent que l'écologie rime parfois avec limites et contraintes : encore faut-il définir sur qui ces contraintes pèseront – sur les plus pauvres, sur le commerce et les productions locales, comme c'est le cas aujourd'hui, ou sur les multinationales et le...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaKévin Pfeffer :

…à proposer un projet de référendum sur l'environnement en quinze questions, un projet rédigé, concret, précis, rassembleur et consultable par tous sur notre site internet – un projet loin, très loin, des gesticulations sectaires et parfois violentes de l'extrême gauche ! Compte tenu de l'offre politique actuelle, voter pour le Rassemblement national, c'est faire triompher l'écologie populaire et raisonnable, qui s'attaquera aux véritables acteurs de la destruction de notre environnement, et non aux Français qui triment chaque jour pour vivre de leur travail. C'est en cela que notre écologie diffère nettement de celle de la NUPES, qui réunit les tenants d'une écologie punitive, sans le peuple et contre lui, d'une écologie imposée au peuple.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaKévin Pfeffer :

Le plus grand risque, à court terme, pour la nation serait que la NUPES réussisse à faire détester l'écologie par une majorité de Français. Chacun le voit dans les collectivités dirigées par l'extrême gauche NUPES : lorsque vous souhaitez améliorer la qualité de l'air, vous imposez les zones à faibles émissions (ZFE), qui, concrètement, se traduisent pour nos concitoyens en zones à forte exclusion, reprises par les macronistes comme gage électoral – exclusion des véhicules des plus modestes, véhicules qu...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaKévin Pfeffer :

Notre écologie à nous, patriotes du Rassemblement national, est populaire : c'est celle du localisme et du bon sens. Le concept de localisme, que nous avons mis sur le devant de la scène politique lors des élections européennes de 2019, apporte des solutions concrètes au changement climatique. Pour décarboner la France, nous privilégions nos pôles d'excellence, ceux de la recherche et du développement, ceux de ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCharles Fournier :

Pendant longtemps, l'écologie faisait ricaner le Front National : « la nouvelle religion des bobos gogos », comme se plaisait à dire Jean-Marie Le Pen. Mais voilà que, peu à peu, le RN a jugé nécessaire de rendre l'écologie compatible avec son projet. Vous passez en quelque sorte du nationalisme écolo-sceptique au localisme, cœur de la pensée verte du RN. Mais dans votre projet, on ne retrouve aucune proposition concrète pour...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCharles Fournier :

Votre définition est enkystée dans une vision identitaire et nationaliste. À cette question locale et mondiale qu'est l'écologie, vous répondez local, national et patriotique. Le localisme est consubstantiel à la fermeture des frontières, une sorte d'entre-soi fondé sur l'appartenance à une terre et un héritage culturel communs. Le localisme vous sert à dénoncer la mondialisation sans proposer de solution, à combattre le libre-échange et à critiquer l'Union européenne qui handicape selon vous les entreprises françaises. Ce...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphanie Galzy :

... à notre planète c'est le localisme, la souveraineté alimentaire et la défense de nos agriculteurs. Alors que les enjeux environnementaux doivent devenir 1'un des fondamentaux des politiques publiques et que l'importance de la souveraineté alimentaire nous est rappelée par la crise du covid-19 et par la guerre en Ukraine, la promotion du localisme représente aujourd'hui une nécessité absolue. L'écologie et la souveraineté alimentaire sont des enjeux nationaux. C'est pourquoi, au Rassemblement national, nous défendons le développement du localisme, c'est-à-dire à la fois l'engagement envers la réindustrialisation de notre économie, la protection de notre environnement mais aussi la garantie de produits de saison, de qualité et de proximité.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Claude Raux :

L'écologie est clairement incompatible avec le logiciel de l'extrême droite, ils l'ont toujours montré en réalité. Le localisme est un concept dont les définitions varient selon où l'on se situe, de quel côté de l'hémisphère, de quel côté de cet hémicycle, et nous avons bien du mal à croire au manifeste venant de vos rangs – qui se sont d'ailleurs vidés au fur et à mesure d'un débat qui semble peu vous inté...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurence Heydel Grillere :

...if la relocalisation et la souveraineté de notre pays. D'ailleurs, la France a recréé des emplois industriels depuis 2017, ce pour la première fois depuis vingt ans. Il y a aujourd'hui deux fois plus d'usines qui ouvrent que d'usines qui ferment. C'est le résultat d'une politique ambitieuse, celle de France Relance, un plan historique de 100 milliards d'euros, dont 30 milliards sont consacrés à l'écologie, pour redresser durablement l'économie française et créer de nouveaux emplois. Depuis, vous l'avez complété avec le plan France 2030. Monsieur le ministre délégué, pouvez-vous nous rappeler les éléments de bilan de notre politique industrielle sur l'emploi et les usines et dresser les perspectives de nos prochains chantiers pour continuer le redressement de notre appareil industriel ?