Interventions sur "policier"

26 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Comment, dans la République française, un jeune de 17 ans peut-il être tué par un policier ? Pourquoi seize personnes ont-elles trouvé la mort depuis un an et demi en France pour refus d'obtempérer…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMathilde Panot :

Allez-vous oui ou non créer un fonds d'indemnisation pour les commerçants et les collectivités victimes des événements de cette semaine ? Comptez-vous enfin dépayser les affaires de violences policières et allonger la formation des policiers ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Marleix :

Je dis aussi notre immense reconnaissance aux forces de sécurité, policiers, gendarmes, policiers municipaux, sapeurs-pompiers – je pense au caporal-chef Dorian Damelincourt. Leur extraordinaire sang-froid est l'honneur de la France. Aujourd'hui, seule une réponse pénale rapide et exemplaire permettra d'endiguer la violence. Je vous demande donc, madame la Première ministre, de publier chaque semaine l'activité de la justice département par département. Combien de pers...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

Car, depuis mardi dernier, ce sont bien 808 policiers, pompiers et gendarmes qui ont été blessés. Face à ceux qui crient au prétendu « permis de tuer » de nos forces de l'ordre, je dis solennellement qu'elles méritent notre soutien pour leur action.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAurore Bergé :

La vérité, c'est que, oui, le décès brutal d'un jeune homme sera toujours un drame. Cependant, celui-ci est sans rapport avec le déferlement de violences auquel nous assistons. Brûler nos bâtiments publics, des écoles, des mairies ou encore des bibliothèques, tirer avec des armes de guerre sur nos policiers, attenter à la vie de nos élus et de leurs familles, piller des commerces : il n'y a aucune justice dans de tels actes.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBoris Vallaud :

Nous pensons à toutes les personnes – policiers, gendarmes, pompiers, commerçants, habitants de ces quartiers sans oublier nos maires – qui ont eu à connaître des agressions, la peur parfois, la destruction souvent. Représentants de la nation, nous devons nous tenir résolument à leurs côtés.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Paul Mattei :

...doivent être condamnées à toute force parce qu'elles détruisent des biens communs, des familles entières et désespèrent de nombreux acteurs qui sont, tous les jours, sur le terrain. L'État a répondu rapidement et vigoureusement, tant par le nombre des membres des forces de l'ordre mobilisés que par les actions de la justice très rapidement engagées. Je veux saluer le courage et le sang-froid des policiers et des gendarmes, celui des pompiers aussi bien sûr.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBertrand Pancher :

...ponses concrètes pour une réconciliation nationale. Malheureusement, ce fut un rendez-vous manqué. Certes des choses ont été faites, mais si peu ! Nous avons une crainte : que des solutions partielles soient adoptées et que l'on passe à autre chose, avant qu'une autre crise ne survienne. Au contraire, il faut des solutions globales, forgées avec les élus locaux, les responsables associatifs, les policiers, les médiateurs, l'éducation nationale – ce que nous avons appelé « un conseil des sages ». Il convient de reprendre le rapport Borloo…

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Marcangeli :

Madame la Première ministre, notre pays a vécu, ces derniers jours, des heures effroyables. Rien – rien ! – ne peut justifier de s'attaquer à des écoles, à des bibliothèques, à des locaux d'associations qui œuvrent pour le bien commun. Nos concitoyens voient leurs voitures brûler ; des commerçants, leurs magasins pillés ; des policiers, des élus et parfois même de simples passants qui se trouvent au mauvais endroit, au mauvais moment, sont attaqués sauvagement. Je tiens avant tout à saluer, au nom du groupe Horizons et apparentés, le travail exceptionnel réalisé par nos forces de secours et de sécurité.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichaël Taverne :

...é vous revient en pleine figure. Vous-même, monsieur le ministre, vous êtes apparu dépassé et déconnecté en affirmant que dans la nuit de vendredi à samedi l'intensité des émeutes était moindre, alors que cette nuit-là était la pire. Quel visionnaire ! Et je ne parle pas du piétinement, au plus haut sommet de l'État, de la présomption d'innocence de celui qui servait la République sous l'uniforme policier.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Léaument :

Au nom de Taissire, Gabriel, Samy, Keve, Gangaly et Mohammed, six jeunes de ma circonscription, âgés de 13 à 17 ans, je veux vous décrire en quoi consiste l'action « merveilleuse » de la police. « Ferme ta gueule tête de chien ! Tu veux qu'on t'encule ou quoi ? » Ces propos sont ceux qu'ont tenus des policiers à ces jeunes gens.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Léaument :

Le code de déontologie de la police et de la gendarmerie nationales prescrit que le policier doit se comporter d'une manière exemplaire, ce qui inspire en retour respect et considération. Pensez-vous que les insultes que j'ai citées inspirent respect et considération ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Léaument :

Pensez-vous que lorsque ces syndicats de policiers parlent de « hordes de sauvages », de « nuisibles » et de « guerre », ils emploient autre chose qu'un vocabulaire raciste ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Léaument :

Quand allez-vous limoger et punir les policiers racistes qui salissent l'uniforme de leurs collègues républicains ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPrisca Thevenot :

Ma question s'adresse à M. le ministre de l'intérieur et des outre-mer. « Je n'en veux pas à la police, j'en veux à une personne : celui qui a enlevé la vie de mon fils. » Ces mots prononcés par la maman de Nahel ont trouvé un écho auprès de notre justice. En effet, le policier en question a été mis en examen pour homicide volontaire, puis placé en détention provisoire, et il devra répondre de ses actes.