Les amendements de Annie Genevard pour ce dossier

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Madame la Première ministre, depuis des mois, nous sonnons l'alarme : la construction et la vente de logements s'effondrent. Il y a quinze ans, nous construisions 100 000 logements de plus par an qu'aujourd'hui. L'augmentation des coûts de construction, le poids des normes, la raréfaction du foncier et, bien sûr, la hausse des taux d'intérêt em...

Madame la Première ministre, une fois n'est pas coutume, écoutez les Républicains ! Ne touchez pas au prêt à taux zéro (PTZ). Défiscalisez les intérêts pour permettre aux Français d'emprunter et d'accéder à la propriété. Facilitez les donations pour permettre aux jeunes générations d'acquérir plus vite et plus facilement leur résidence principa...

Les Français qui ne peuvent plus se loger sont en colère. Les entreprises du bâtiment sont aux abois. Que comptez-vous faire pour désamorcer ce qui s'annonce déjà comme une véritable bombe sociale ?

celle-là même qui est censée faciliter l'amélioration de la performance énergétique des logements. C'est un bazar innommable !

Madame la Première ministre, la politique de votre ministre de l'éducation nationale concernant l'enseignement privé est incompréhensible et dangereuse. On attendrait d'un ministre de l'éducation nationale qu'il s'attaque résolument aux maux qui rongent l'école publique : le niveau de nos élèves qui ne cesse de se dégrader, comme en attestent t...

Quelle valeur peut avoir un protocole signé sous une telle menace ? Et je passe sur la méconnaissance que cela montre de la réalité de l'immense majorité de ces établissements privés de province qui scolarisent des élèves venus de tous les milieux. Pour quelques établissements – publics ou privés – qui ont choisi d'opérer un recrutement fondé s...

Monsieur le ministre, je vous ai entendu sur France Inter : vous avez dit que si les établissements privés ne respectaient pas la mixité sociale, vous diminueriez leurs moyens en ressources humaines ! Vous l'avez dit !

Ma question s'adresse à Mme la Première ministre. Nouvelle illustration du « en même temps » cher au Président de la République, notre pays a réussi la performance diplomatique d'être en froid et avec l'Algérie et avec le Maroc.

Le Maroc a rappelé son ambassadeur à Paris le 19 janvier dernier et dénoncé ces derniers jours des relations avec la France qui ne sont, selon les mots du royaume, « ni bonnes ni amicales ». Quel terrible constat de la part de ce pays traditionnellement ami du nôtre !

Le 8 février, c'était au tour de l'Algérie de rappeler son ambassadeur pour consultations, afin de protester contre l'exfiltration de la militante algérienne Amira Bouraoui.

Dans la foulée, le pays annonçait qu'il cesserait de délivrer les indispensables laissez-passer consulaires. Très concrètement, cela signifie que l'Algérie ne reprend désormais plus aucun de ses ressortissants expulsés par la France. Au-delà des conséquences diplomatiques, qui contribuent à affaiblir toujours plus notre pays déjà à la peine su...

Seules 0,2 % des obligations de quitter le territoire français (OQTF) vers l'Algérie sont exécutées et 2,4 % vers le Maroc. Dans ces conditions diplomatiques particulièrement défavorables, comment comptez-vous réaliser la promesse de votre ministre de l'intérieur de mener à bien 100 % des OQTF – engagement qui apparaît au mieux comme un vœu pi...

Ce double fiasco diplomatique et migratoire ne vous est sans doute pas directement imputable, néanmoins les conséquences sont là. Je regarde M. le ministre de l'intérieur : plus aucune OQTF ne peut être satisfaite, notamment avec l'Algérie. Comment répondrez-vous à ce problème majeur pour notre pays ?

Elles concernent dans la majorité des cas le port de tenues et de signes religieux. Face à cette réalité, il y a deux attitudes possibles : se borner à des réponses techniques, alors qu'il est clair qu'une circulaire ne suffira pas, ou affronter cette offensive politique qui est à l'œuvre sur les réseaux sociaux et qui conduit des adolescents à...

…êtes-vous prête à dire qu'en France, comme en Iran ou en Afghanistan, tout vêtement qui affiche la soumission des filles n'a pas sa place à l'école ?

Merci, monsieur le ministre, mais vous décrivez la situation alors que nous attendons une réponse politique forte, tenue au plus haut niveau.

Madame la Première ministre, je regrette que vous esquiviez cette réponse. Nous n'avons pas besoin d'une réponse administrative, mais d'une réponse politique !