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Résultats 1 à 50 sur 122 triés par pertinence — trier par date

Commission des affaires sociales - Intervention le 02/08/2022

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Monique Iborra

Monsieur le ministre, nous avons perçu votre énergie et votre volontarisme. Mais nos politiques publiques ne parviennent pas à atteindre nos concitoyens : les gens ne les connaissent pas. Pourquoi ? Ces deux derniers mois, dans mon département, le recours au 15 a été faible car les gens ignorent l'existence du dispositif, sans doute faute de communication. Par ailleurs, la question n'est pas tant le manque d'acteurs que celle de savoir qui coordonne quoi : à qui allez-vous confier la coordination de la politique que vous souhaitez appliquer ? Enfin, au-delà de la nécessaire médicalisation des EHPAD, qui n'est pas une question récente non plus, le recours à ...

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Commission des affaires économiques - Intervention le 20/09/2022

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Monique Iborra

Je me suis engagée auprès de la presse locale à vous interroger sur l'avenir des salariés de l'entreprise toulousaine Scopelec, dont la situation est particulièrement délicate, depuis qu'Orange a décidé de ne pas renouveler son contrat de sous-traitance. Cette décision va représenter une perte de chiffre d'affaires de près de 40 % et elle va avoir de graves conséquences sur l'emploi – l'entreprise compte 500 salariés en Occitanie. Durant huit mois, des négociations ont eu lieu dans une atmosphère conflictuelle. L'État était prêt à renoncer au remboursement du prêt garanti par l'État et du passif public ; l'entreprise Orange s'était engagée, quant à ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 13/09/2022

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Monique Iborra

Depuis des décennies, les gouvernements ont cherché à inverser la courbe du chômage sans y parvenir durablement, et l'objectif du plein emploi s'est éloigné. Or, tout gouvernement a la responsabilité d'engager les réformes nécessaires pour garantir à chacun un emploi de qualité. La pandémie a par ailleurs bousculé les habitudes et transformé les attentes de la société, qui a subi une crise inédite. Les politiques économiques et sociales de cette période, résumées par le « quoi qu'il en coûte », ont permis une reprise économique vigoureuse. La politique de l'offre porte ses fruits : les entreprises recrutent et la courbe du chômage s'est inversée. ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 20/09/2022

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Monique Iborra

Monsieur le ministre je suis admirative du périmètre de votre portefeuille et, en même temps, assez inquiète quant à la méthode – mais je suis certaine que vous allez pouvoir nous rassurer. Vous allez vous occuper de toutes les facettes des politiques sociales, ce qui est énorme, et de deux politiques sociétales que vous avez citées : les lois relatives au grand âge et à la fin de vie. Ces deux lois ont des dénominateurs communs qui ne sont pas ceux que vous avez cités : la citoyenneté, l'autonomie et le libre choix. On peut donc les rapprocher sans s'en tenir à ce que vous avez cité – et qui n'est, du reste, pas de vous. Pour ce qui est de la méthode, ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 10/10/2022

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Monique Iborra

Je peux comprendre que certains de mes collègues souhaitent voter l'amendement. Honnêtement, je ne pense pas que cela changera la face du monde, et encore moins la situation des femmes. Pour ma part, je ne le voterai pas.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 10/10/2022

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Monique Iborra

Alors que le Gouvernement agit vraiment en faveur de la prévention, il se trouve en quelque sorte victime de son succès. Nous discutons d'un texte budgétaire. N'abordons pas ces problèmes au coup par coup, de façon décousue, sans aucune cohérence. La mesure proposée est tout à fait acceptable mais elle devrait s'inscrire dans une démarche globale au lieu de se focaliser sur les bières.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 11/10/2022

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Monique Iborra

Nous avons effectivement déjà discuté de ces questions hier, ce qui montre à quel point nous sommes attachés à la prévention. Les vieilles recettes utilisées jusqu'à présent sont obsolètes : nous devons en trouver d'autres et mettre la prévention au cœur de notre système de soins. Cependant, si nous voulons être efficaces, nous ne pouvons agir au coup par coup. Nous pourrions créer un groupe de travail.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 11/10/2022

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Monique Iborra

L'évaluation du CICE a en effet démontré qu'il n'a pas créé un grand nombre d'emplois, mais tel n'était pas son unique objet. En revanche, il a induit des augmentations de salaire, en accord avec les organisations syndicales, que j'ai interrogées à ce sujet et qui me l'ont confirmé. Noircir ainsi le tableau est un peu exagéré.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 05/10/2022

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Monique Iborra

Au-delà de vos nombreuses préconisations concernant l'imagerie et la radiothérapie, vous appelez notre attention sur la question des accidents du travail. Vous insistez en effet sur une sinistralité hors norme dans les établissements médico-sociaux, notamment les Ehpad. Dès 2017, je signalais ce fait dans un rapport écrit avec Caroline Fiat en conclusion d'une mission d'information. Le rôle de la Cour des comptes est-il de prévoir des dépenses ? Ne pensez-vous pas cependant qu'il serait utile de définir un ratio minimum, que j'avais déjà préconisé dans le rapport de 2017, concernant notamment les infirmières et les aides-soignantes – tout en sachant que, ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 10/10/2022

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Monique Iborra

Monsieur Guedj, en tant qu'ancien président d'un conseil général, vous devez savoir à quel point il est urgent de réformer l'aide sociale, avant de penser à augmenter les places. La situation de l'aide sociale, que l'Assemblée nationale et le Sénat décrivent dans leurs rapports, n'est pas acceptable. Quand vous serez à nouveau président d'un conseil départemental, vous pourrez nous faire une telle proposition. Ce n'est pas encore le moment !

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Commission des affaires sociales - Intervention le 10/10/2022

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Monique Iborra

Croyez-vous vraiment que l'on pourrait atteindre les objectifs importants dont vous avez parlé, l'amélioration des conditions de travail et l'augmentation des salaires, avec une expédition punitive ? Vos seules propositions tournent autour de la création de taxes ou contributions. C'est archaïque et c'est une fixation de votre part. J'ajoute que nous ne vous avons pas attendus. Nous avons travaillé ces questions au cours des cinq dernières années. Certes, nous n'avons pas adopté une loi sur le grand âge mais nous espérons y parvenir et, par ailleurs, nous avons agi. Je pense à l'avenant 43, qui n'est pas encore appliqué par tous les départements : vous pourriez ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 12/10/2022

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Monique Iborra

On sait très bien que l'aide sociale fonctionne mal et que ses modalités ne correspondent plus du tout aux objectifs initiaux. Mais on n'a jamais obtenu de la part des conseils départementaux qu'ils se penchent sur cette question. Rien ne sert de vouloir modifier le nombre de places habilitées ou toute autre disposition de l'aide sociale : il faut la restructurer complètement.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 12/10/2022

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Monique Iborra

Les partisans du conventionnement sélectif ont-ils pensé aux malades ? À partir du moment où le médecin sera déconventionné, le malade ne sera plus remboursé. Il y a des ayatollahs qui ne pensent qu'à punir ! (Exclamations.) Pour ma part, je pense aux malades. Continuera-t-on à les rembourser ? Y aura-t-il un autre médecin vers lequel se tourner ? J'aimerais une réponse à ces questions.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 12/10/2022

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Monique Iborra

On peut voir cette quatrième année de manière négative, mais aussi louer ses vertus pédagogiques. De la même façon qu'ils effectuent un stage à l'hôpital, les étudiants en médecine devraient en faire un en médecine de ville. De surcroît, se rendre en zone sous-dense leur montrerait que, contrairement à ce que certains croient, ces endroits ne sont pas dépourvus de tout. On y trouve des écoles, des pharmacies... les zones sous-denses sont parfois des zones urbaines. Enfin, ces jeunes se demandent souvent comment s'installer et quel coût cela représente ; ils pourront trouver, au cours de cette année, des réponses. Pour toutes ces raisons, tous les membres ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 12/10/2022

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Monique Iborra

Il existe déjà un coordonnateur qui perçoit un confortable forfait de rémunération des ARS. De plus, l'amendement ne prévoit aucune obligation d'effectuer son stage dans une CPTS, juste une information de cette possibilité. Les deux coordonnateurs de ma circonscription mènent des actions de prévention : c'est un exercice médical qui peut intéresser les jeunes parce qu'ils ne pratiquent pas cela à l'hôpital. Cette formation complémentaire leur serait tout à fait utile.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 12/10/2022

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Monique Iborra

Aux termes de l'amendement AS1324, l'État pourrait autoriser, à titre expérimental et pour une durée de trois ans, les conseils de l'ordre des médecins territorialement compétents à organiser obligatoirement des consultations de médecins généralistes ou spécialistes dans les zones sous-dotées.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 12/10/2022

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Monique Iborra

Il peut être périlleux de fixer une date dès à présent, sans étude d'impact. Le secteur médico-social rencontre des difficultés en matière de personnel : se précipiter pourrait avoir de lourdes conséquences.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 12/10/2022

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Monique Iborra

Encadrer seulement les prestations relatives à l'hébergement est peut-être un peu léger, mais cela donne une direction. En tout état de cause, il faut baisser le reste à charge, qui est la première préoccupation des résidents et de leurs familles.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 12/10/2022

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Monique Iborra

En 2017, la commission des affaires sociales a lancé une mission d'information sur les Ehpad, dont j'étais corapporteure. Nous avons constaté qu'il manquait un médecin coordonnateur dans environ 30 % des Ehpad – la situation ne s'est guère améliorée depuis. D'autre part, les médecins coordonnateurs n'avaient pas de pouvoir de prescription ; du reste, ils ne le demandaient pas car ils préfèrent limiter leur temps de présence pour pouvoir exercer leur mission dans plusieurs établissements. Aujourd'hui encore, l'une des deux associations qui les représentent n'est pas favorable à l'attribution de ce pouvoir. Or les Ehpad souffrent d'un manque criant de ...

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Intervention en hémicycle le 20/10/2022 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023

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Monique Iborra

Le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023 pourrait à mon sens être qualifié de projet de transition. La période précédente a été celle de la sortie de crise sanitaire : certaines réformes ont dû être reportées, face à l'urgence nécessitant réparation et traitement des conséquences économiques, sociales et même sociétales de l'épidémie dans notre pays. Aujourd'hui, malgré un contexte également difficile – mais pour d'autres raisons –, nous devons avancer pour répondre à la crise énergétique et à une inflation qui est certes moins importante dans notre pays qu'ailleurs, mais qui affecte la vie quotidienne de nos ...

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Intervention en hémicycle le 20/10/2022 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023

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Monique Iborra

Changement de méthode, donc : outre des mesures immédiates, nous aurons à prendre en compte des propositions à plus long terme. La santé et l'accès aux soins demeurent des préoccupations majeures pour nos concitoyens ; nous leur devons d'y répondre. Si cette réponse s'inscrira en partie dans la continuité de ce qui a été fait précédemment, elle sera à d'autres égards novatrice. Traiter par la régulation – et non par la coercition – ce que nous appelons les déserts médicaux ; s'adapter à la révolution démographique et garantir le « bien vieillir » ; sauvegarder l'autonomie – nous espérons en la matière, monsieur le ministre, une loi relative au ...

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Intervention en hémicycle le 20/10/2022 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023

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Monique Iborra

…qui a institué des consultations à des âges-clés de la vie des personnes pour la renforcer. Investir dans la santé, c'est considérer avec attention la situation de l'hôpital public et celle des établissements médico-sociaux, notamment dans le contexte d'inflation que nous connaissons – mais pas seulement. L'Ondam continuera sa forte progression en 2023, puisqu'une hausse de 8,6 milliards d'euros est prévue par rapport à 2022 – il a augmenté de plus de 53 milliards depuis 2017. Certains ici présents auraient bien aimé que des gouvernements précédents y parviennent, mais ils y ont toujours renoncé. Sans aborder la longue liste des mesures qui figurent ...

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Intervention en hémicycle le 25/10/2022 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023

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Monique Iborra

Le groupe Renaissance propose lui aussi d'étendre les compétences de la Cour des comptes et des chambres régionales des comptes pour leur permettre de contrôler ces établissements. Il n'est pas question de stigmatiser tous les Ehpad, mais la confiance n'exclut pas le contrôle. Cette disposition permettra de rendre les contrôles plus efficaces, ce qui est plus que nécessaire.

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Intervention en hémicycle le 26/10/2022 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023

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Monique Iborra

Le groupe Renaissance est fier de le présenter. Depuis cinq ans, notre politique tend à répondre à la demande réitérée de nos concitoyens de vivre le plus longtemps possible à domicile. Dans ce but, différentes mesures ont été adoptées dans les lois de financement de la sécurité sociale : la revalorisation des salaires des aides à domicile et l'instauration d'un tarif plancher horaire national, d'un montant de 22 euros. Nous continuons et amplifions cette politique pour 2024 et au-delà – et pas seulement pour tenir compte de l'inflation –, confirmant ainsi la cohérence de la volonté politique du groupe Renaissance.

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Intervention en hémicycle le 26/10/2022 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023

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Monique Iborra

Depuis la création de la cinquième branche autonomie à l'été 2020, nous avons voté plusieurs mesures importantes pour renforcer l'attractivité des métiers de l'aide à domicile et rendre les services à domicile plus accessibles et de meilleure qualité, que vient compléter l'article 34. Ainsi, la loi de financement de la sécurité sociale pour 2021 dispose le versement annuel à la CNSA d'une enveloppe de 200 millions d'euros destinée à financer en partie l'avenant 43 portant révision de la classification des emplois et du système de rémunération des salariés de la branche de l'aide, actant ainsi, pour la première fois depuis des années, l'amélioration ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 17/11/2022

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Monique Iborra

Une telle extension, notamment aux personnels paramédicaux, me semble en effet un progrès important. Cela implique de déterminer par voie réglementaire la rémunération d'astreinte pour les nouvelles professions de santé concernées, indépendamment de la rémunération des actes accomplis dans le cadre de leur mission.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 17/11/2022

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Monique Iborra

Je suis d'accord avec M. Guedj, si ce n'est que l'efficacité de cette mesure serait très limitée si elle ne s'inscrivait pas dans le cadre d'une réforme globale dans le secteur du grand âge. Nous sommes dans l'attente de cette dernière. À l'heure actuelle, chaque acteur détient une part de l'information, tandis que les citoyens n'en ont aucune.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 17/11/2022

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Monique Iborra

Je souhaite également ce rétablissement. Il convient de tenir compte, en particulier, du taux d'encadrement auprès du malade, qui peut représenter moins de la moitié du taux d'encadrement général. On espère que le rapport effectuera cette distinction.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 17/11/2022

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Monique Iborra

Nous proposons un mécanisme incitatif – ceux qui réclament des mesures coercitives seront déçus ! – pour permettre aux médecins qui le souhaitent de fournir du temps médical. Cette disposition ne réglera pas la question des déserts médicaux mais elle ne pose aucun problème. Ne vous y opposez donc pas, car cela n'a pas de sens !

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Commission des affaires sociales - Intervention le 17/11/2022

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Monique Iborra

L'amendement AS411 tende à rétablir la rédaction adoptée par l'Assemblée en première lecture, de sorte que la délivrance de la contraception d'urgence soit accompagnée d'une information claire et concise sur les différents moyens sûrs de contraception et sur les consultations d'information et de suivi de contraception prises en charge sans avance de frais.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 17/11/2022

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Monique Iborra

Selon les gendarmes de ma circonscription, les médecins refusent tout simplement de se déplacer la nuit pour constater un décès, parce qu'il n'y a pas urgence – les gendarmes sont donc contraints de les attendre jusqu'au lendemain. On marche sur la tête ! S'il n'y a pas de réponse, on est en droit d'en chercher une différente.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 16/11/2022

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Monique Iborra

Monsieur Neuder, pouvez-vous nous indiquer très précisément quelle est la décision de la HAS et pourquoi vous ne voulez pas l'aborder ?

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Commission des affaires sociales - Intervention le 16/11/2022

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Monique Iborra

Nous sommes au pied du mur et nous devrons trancher. Qu'on le veuille ou non, la science intervient ici. Il est erroné de présenter les soignants ayant refusé d'être vaccinés comme des victimes. Ils ont délibérément décidé de ne pas être vaccinés et il faut assumer les décisions que l'on prend. Par ailleurs, certains collègues, parmi lesquels je n'inclus pas Mme Fiat, me semblent être partis à la chasse aux voix. Ce qui est grave, c'est qu'ils reprennent à leur compte des arguments complotistes, en citant des pays où le complotisme s'est bien moins développé qu'en France. La liberté de vote n'excuse pas tout.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 16/11/2022

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Monique Iborra

La question est en effet complexe ; évitons de la compliquer davantage ! Madame la rapporteure, ce que vous pensez et proposez n'est pas en cause. Le problème est que rien ne démontre que les soignants qui ont refusé d'être vaccinés accepteront de se plier aux contrôles que vous prévoyez. Moi-même, j'aurais du mal à accepter un test chaque jour. Cela pourrait donc provoquer des problèmes d'organisation. Par ailleurs, nous ne pouvons pas faire abstraction du fait que les parlementaires ayant soutenu l'obligation vaccinale ont été ciblés, voire insultés par des groupes de pression. Je ne dis pas que vous en êtes, mais un tel texte ne peut que les encourager. ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 16/11/2022

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Monique Iborra

Tous vos propos ne sont qu'un retour sans fin à la lutte des classes. Vous n'en sortez jamais. Dans votre prisme, il n'y a rien d'autre que les pauvres et les riches, les jeunes qui triment et les enfants de familles riches qui ne fichent rien. Mais c'est un prisme, ce n'est pas la réalité de la société. Bien sûr, il y a des gens, pas seulement des jeunes, dans la précarité, qui ont besoin d'aide. Il y en a aussi qui ont connu la précarité et s'en sont sortis. Mais vous ne parlez que de ceux qui subissent – pour vous, il faut juste leur donner, parce qu'ils sont pauvres. Vous ne voulez pas voir ceux qui pourraient ne rien faire et qui travaillent pour gagner ...

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Intervention en hémicycle le 21/11/2022 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023

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Monique Iborra

Nous voici réunis pour examiner en deuxième lecture le PLFSS pour 2023, dans une configuration inédite mais qui n'a pas escamoté les débats. Il est vrai que la discussion aurait pu aller plus loin si vous, chers collègues de l'opposition, n'aviez pas prévenu que, quoi qu'il arrive, vous voteriez contre le texte. Fallait-il alors aller jusqu'au bout de son examen pour, finalement, vous remercier de le rejeter ? Nous avons entendu vos regrets tardifs, mais pardonnez-moi de vous dire que nous les avons jugés peu crédibles. Vous pouvez cependant reconnaître avec nous la progression importante de l'objectif global de dépenses (OGD) – qui comprend l'Ondam ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 10/01/2023

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Monique Iborra

Il y a quelque conservatisme à considérer que les infirmières doivent rester des auxiliaires médicaux, à les obliger à suivre des protocoles et à demander l'aval d'un médecin avant toute intervention. Il faut, au contraire, qu'elles sortent de ce rôle, ce qui ne doit pas les empêcher de travailler en collaboration avec les médecins. Elles ont des compétences qui leur sont propres, certes limitées par rapport à celles des médecins, mais bien réelles. Or vous ne voulez pas reconnaître à ces personnes, que vous considérez comme des auxiliaires, la possibilité d'agir en responsabilité. Vous tournez autour du pot... Soyez un peu plus moderne !

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Commission des affaires sociales - Intervention le 11/01/2023

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Monique Iborra

Je vous remercie pour ce rapport. Le début de la vaccination a mis en lumière des dysfonctionnements que l'on peut attribuer à la difficile coopération entre les secteurs médical et médicosocial. Votre rapport évoque-t-il cette problématique ? Au-delà de la disparité entre le nord-est et le sud-ouest que vous avez mentionnée, un travail universitaire mené en Occitanie a mis en évidence une forte et nette disparité quant au nombre de personnes vaccinées entre le milieu urbain et le milieu rural. Avez-vous effectué cette même constatation ?

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Commission des affaires sociales - Intervention le 30/01/2023

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Monique Iborra

Après les considérations philosophiques et quelquefois délirantes entendues, je voudrais que l'on revienne au concret. Éloignons-nous du rapport du COR, qui satisfait beaucoup de monde puisque chacun y trouve manifestement ce qu'il cherche. Regardons plutôt autour de nous. Les centenaires sont de plus en plus nombreux. On peut s'en réjouir...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 30/01/2023

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Monique Iborra

Certains passent autant de temps à la retraite qu'au travail, et demain sûrement plus. Je sais bien que vous en rêvez et que vous réclamez le droit à la paresse. Mais pouvez-vous, sans rire, convaincre nos concitoyens que nous pourrions conserver notre régime de solidarité, malgré le grave problème démographique qui se pose, sans réforme ? Ils ne vous croient pas. Alors seriez-vous, par hasard, favorables à un régime par capitalisation ?

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Commission des affaires sociales - Intervention le 31/01/2023

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Monique Iborra

Si nous sommes enfermés dans notre pouvoir, comme vous le d tes, de votre côté, vous êtes enfermés dans votre idéologie. Vous êtes de surcroît et comme d'habitude, très agités, provocateurs et agressifs. C'est à se demander si vous n'êtes pas déçus par le nombre de manifestants.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 26/01/2023

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Monique Iborra

Un point soulève questions et polémiques : le report de l'âge légal serait plus défavorable aux femmes qu'aux hommes. Pouvez-vous apporter des précisions sur ce point ?

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